Alleluhia ! Alleluhia ! Alleluhia !

Alleluhia ! Alleluhia ! Alleluhia !

Didier, au… « revoir » !

Hier soir, je me suis endormi sur ta proposition, Bertrand, de partager ici quelques mots.
Et dans cette interrogation : comment rendre compte de la bienveillante attention à l’autre, aux autres,
- dont témoigne, Didier, l’élégance de ton humour incomparable,
- dont témoigne ton parler juste, ton parler frais, ton parler lucide, ton parler bon, ton parler bref,
- dont témoigne tout simplement la présence de ta personne ?

Et ce matin, je me suis réveillé avec ces trois mots de joie : Alleluhia ! Alleluhia ! Alleluhia !
Comment les expliquer ?

Didier, il y a quelques jours, lorsque tu t’es retrouvé avec les tiens, Marie-Paule, Yves, Marie-Eve, Cécile, sous mes doigts le clavier t’écrivait déjà, Monique : Joie ! Allegria ! Alléluia !

Aujourd’hui, Didier, tu es parmi les tiens, ivres de joie dans le regard du Père.
Ce Père qui t’a placé sur le chemin de chacun d’entre nous, comme une bénédiction, comme une sanctification.

Notre Père te rappelle à Lui : Au « revoir » ! Au « revoir » ! Tout à la joie de cette rencontre, Didier, va !

Alleluhia ! Alleluhia ! Alleluhia !

Au revoir, Didier

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